Les 10 airs d’opéra les plus connus de Rossini

Né le 29 février 1756 à Pesaro et mort le 13 novembre 1868 à Passy, Gioacchino Antonio Rossini est un des plus grands compositeurs d’opéras, qui n’a pas fait l’unanimité en son temps. Rarement un compositeur n’aura suscité autant de polémiques et de divergences autour de ses oeuvres…
Ses oeuvres sont d’une musicalité incroyablement vive et dynamique. Beaucoup de ses ouvertures ont été utilisées dans des publicités. Même s’il excellait dans le répertoire lyrique, il nous a laissé de magnifiques oeuvres sacrées comme La Petite messe solennelle ou encore le Stabat Mater. Sa création et son génie lyrique s’arrêtent à partir 1830 pour raisons historiques laissant place aux oeuvres sacrées.
Bien que les opéras de Rossini soient toujours un immense succès de nos jours, il n’en a pas toujours été : La 1ère du Barbier de Séville en 1816 a été une vraie catastrophe.
Heureusement, il nous a laissé de très nombreuses oeuvres lyriques qui sont un vrai plaisir auditif et de vraies prouesses pour celles et ceux qui les interprètent grâce à leur virtuosité.
Parmi les 40 Opéras qu’il a composés (Le Barbier de Séville, La Cenerentola, Guillaume Tell pour les plus connus), je vous propose de (re)-découvrir les 10 airs d’opéra les plus connus de Rossini.
- Ouverture (La Cenerentola), Orchestra del Teatro la Fenice
- « Largo al factotum » (il Barbiere di Siviglia), Peter Mattei, Metropolitan of New York
- « Nacqui all’afanno…Non piu mesta » (La Cenerentola), Marianne Crebassa, Opéra de Paris
- Ouverture (Guillaume Telle), Orchestra del Teatro la Fenice
- « Una Voce Poco Fa » (il Barbiere di Siviglia), Cecilia Bartoli, Radio-Sinfonieorchester Stuttgart
- « Bel raggio lusinghier » (Semiramide), Elsa Dreisig, Duisburg Philharmonic Orchestra
- « Sombre Forêt » (Guillaume Tell), Marina Rebeka, Bayerisches Staatsorchester
- « Si ritrovarla io giuro » (La Cenerentola), Juan Diego Florez, Orchestra del Gran Teatro del Liceu
- « Ouverture » (La Gazza ladra), Orchestra Del Teatro La Fenice
- « Vous que l’on dit sensible » (Le Comte Ory), Pretty Yende, The Metropolitan Opera
- Bonus : « La Danza », Luciano Pavarotti